Chapitre • 77
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La voie du ciel (c'est-à-dire le ciel) est comme l'ouvrier en arcs, qui abaisse ce qui est élevé, et élève ce qui est bas ; qui ôte le superflu, et supplée à ce qui manque.
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Le ciel ôte à ceux qui ont du superflu pour aider ceux qui n'ont pas assez.
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Il n'en est pas ainsi de l'homme : il ôte à ceux qui n'ont pas assez pour donner à ceux qui ont du superflu.
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Quel est celui qui est capable de donner son superflu aux hommes de l'empire. Celui-là seul qui possède le Tao.
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C'est pourquoi le Saint fait (le bien) et ne s'en prévaut point.
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Il accomplit de grandes choses et ne s'y attache point.
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Il ne veut pas laisser voir sa sagesse.